11 AOUT - Voyage
Départ de Nanterre avec Tristan, au pied du One. C’est dans le Dacia Docker presque neuf de Tristan que nous embarquons facilement tous les bagages, provisions et accessoires divers. Première étape … Vélizy via le Duplex pour récupérer Matthieu. Je conduis … ce sera la seule fois du voyage aller. Arrivée à Velizy à 9h30, Matthieu ajoute ses bagages, et sa longboard, sans problème. Je m’installe confortablement à l’arrière, les garçons devant se relaieront jusqu’à Val-Thorens !
Nous sommes un samedi d’août, mais la circulation est exceptionnellement fluide : sortie de la région parisienne au pas de charge et plus tard, autoroute A6 quasiment déserte ! En plus, il fait particulièrement beau. Un bon picnic, amoureusement préparé, au soleil sur une aire d’autoroute et c’est reparti. La Dacia est réellement confortable et c’est sans encombre et après la traditionnelle montée jusqu’à la station que nous arrivons à Val-Thorens vers 17h.
Roberta à l’accueil nous reconnait (6 ans après …) et nous transmets le sac à dos laissé par Annie qui a séjourné dans la résidence cette semaine-là et est partie le matin même ! Bref, presque une affaire de famille. Roberta nous attribue un bel appartement en duplex dans la résidence juste à côté de l’accueil et du spa … pratique.
Petite corvée de déchargement, déballage et grosses courses au Sherpa, mais tout cela se fait dans la bonne humeur et à 19h30, nous sommes opérationnels pour … un apéritif vin-saucisson :-)
Et c’est toujours un grand plaisir de regarder le soleil se coucher sur la montagne et, je dirais, de voir la nuit extraordinairement étoilée se lever. Et la fraîcheur du soir est bien agréable après la canicule en ville.
Grosse journée, mais nous sommes tous les trois heureux de retrouver intact ce lieux que nous adorons.
12 AOUT - MISE EN JAMBE
Après un lever tardif et une matinée particulièrement tranquille, il faut profiter d’une très belle météo pour faire notre première randonnée, objectif le Lac Blanc. Aucune difficulté particulière : chemin large et connu, passant d’abord près du « Lac aux grenouilles ».
Certes, ça monte bien et longtemps, mais nous sommes bien équipés. Un bon échauffement pour de prochaines randonnées. Le Lac Blanc est atteint après 1h30 de marche : l’été a été sec et chaud car son niveau est vraiment bas, mais il a toujours une couleur particulière. Petite pause pour manger quelques barquettes à la framboise. La station du télécabine du Pecley semble assez proche au dessus de nous, mais il faut se méfier des impressions à la montagne. Tristan est un peu fatigué car cela fait longtemps qu’il n’a pas fait de marche comme cela, mais nous décidons néanmoins d’aller jusqu’au Pecley. Sur le chemin de pierre, d’autres randonneurs ont protégé avec un cercle de cailloux une petite fleur isolée au milieu du chemin : trop mignon.
Finalement, c’était plutôt accessible et nous sommes bien contents de profiter du paysage et de l’environnement proche du glacier. Glacier au demeurant fort réduit par la fonte. Nous assistons d’ailleurs à l’éboulement impressionnant d’un rocher sur plusieurs centaines de mètres. Il fait un peu frais et nous entamons tranquillement la descente. Nous prenons quasiment le même chemin en sens inverse, sauf à la fin où nous prenons une directe par la piste de slalom qui nous fait arriver directement en haut de la station.
Déjeuner tardif en milieu d’après-midi, encore quelques courses, apéritif et dîner … Dans la soirée, les garçons vont s’entraîner à la longboard sur la terrasse de la résidence. Ca fait plaisir de les voir ainsi ensemble. Quant à moi, je profite d’un ciel étoilé absolument époustouflant : les étoiles brillent littéralement et la voie lactée est visible comme jamais. Quelques étoiles filantes filent, des avions très haut clignotent et Mars est exceptionnellement visible car elle est au plus proche de la terre à cette date. Je prends quelques clichés incroyables en pause longue.
13 AOUT - LES MENUIRES
Eh bien, nouvelle matinée très tranquille, il faut bien se reposer des efforts de la veille :-)
La météo est incertaine : nous décidons de faire un tour aux Ménuires. Descente en voiture avec le Docker, Nous profitons de nos cartes sport pour une montée par le télécabine de la Masse 1. On admire un peu le paysage, les garçons grimpent sur une échelle, nous envisageons de monter à la Masse 2 mais nous renonçons finalement car nous sommes mal équipés et il faut commencer par redescendre un chemin pour arriver à la station basse. Bref, retour en bas des Menuires via la télécabine de Masse 1.
Nous allons ensuite à la luge d’été … qui n’est plus du tout celles que nous avons connu il y a quelques années, où Tristan était d’ailleurs sorti de piste et s’était fait mal. Non, là, ça ressemble plutôt à un parcours de montagnes russes, avec de petits wagonnets solidement reliés à la piste. Aucun risque de sortir de piste. Le parcours est vraiment rapide (quand il n’y a personne devant) et c’est vraiment une bonne sensation. Nous faisons deux tours chacun … il en restera 4 sur la carte.
Retour à Val-Thorens. Le Docker n’est pas un sportif, mais il se comporte plutôt correctement sur cette montée exigeante.
De retour à la résidence, je profite de la piscine et du spa, tandis que les garçons s’entraînent au longboard dans le parking.
14 AOUT - BAD
Bad weather et Badminton peuvent résumer la journée. Nuage et pluie toute la journée (heureusement la météo du lendemain s’annonce excellent, on a du mal à y croire).
Et donc comme d’habitude, grasse matinée et petit déjeuner tardif.
Néanmoins, comme il ne faut pas laisser retomber la pression, nous avons réservé un terrain de badminton couvert au centre sportif de Val-Tho. Je suis très loin d’être un bon joueur, néanmoins je m’en sors avec les honneurs, mais vraiment explosé : le bad, c’est violent. Sans conteste, Matthieu est le plus en forme. Tristan aussi est bien épuisé par cette séance, mais nous avons tous passé un bon moment.
A la sortie, l’odeur de gaufre et de crêpe nous happe et nous regagnons rapidement les calories perdues au badminton avec une bonne grosse gaufre chocolat / chantilly (crème de marron / chantilly pour moi) !
15 AOUT - LA RANDONNEE : Lac du Loup, Col de la Croix Blanche, pointe de la Masse
Comme prévu la météo est excellente et nous avons fait l’effort de nous lever plus tôt pour une belle randonnée en deux temps : malgré les traces laissées par la randonnée de dimanche, la longboard et le badminton de la veille, nous ferons la randonnée à trois jusqu’au traditionnel Lac du Loup. Nous poursuivons ensuite à deux, Matthieu et moi, pour un tour via le Col de la Croix Blanche, le lac de Montfiot et retour par le Lac du Loup : une boucle un peu plus ambitieuse que notre habituelle randonnée au col de la vallée étroite.
Nous descendons par le télécabine du Cairn jusqu’au parking … du Cairn, point de départ pour le Lac du Loup. Chemin bien connu et toujours aussi agréable. Grace à son regard perçant, Tristan aperçois une marmotte pas trop sauvage en train de prendre le soleil : nous réussissons à nous approcher un peu pour bien la voir (cf la photo ci-dessus). Nous progressons rapidement et nous arrivons vers 11h30 au Lac du Loup. Pas mal de monde : il fait beau après deux jours gris et les touristes des Menuires sont montés en masse. Petit pause au soleil, au bord de l’eau, puis Tristan repart comme prévu pour Val Thorens, pendant que Matthieu et moi reprenons notre marche.
La montée vers le Col de la Croix Blanche est l’occasion de redécouvrir de magnifique paysages, c’est vraiment la montagne que j’aime. Par contre, évidemment, la montée est bien sportive. Heureusement, il fait beau avec une température idéale pour ne pas avoir froid ni mourir de chaleur. Nous faisons de petites pauses près des petits lacs de montagne que nous longeons avant d’entamer la montée finale jusqu’à notre première étape de la Croix Blanche.
Arrivé là, nous profitons évidemment de la vue sur l’autre versant … et du bon picnic que j’avais préparé. J’ai fait attention aussi à prendre beaucoup d’eau. C’est toujours dommage et pénible de se retrouver sans eau en fin de randonnée.
Nous avons prévue de faire une boucle et nous prenons donc le superbe chemin de crête qui nous emmène au pied de la Masse. De loin, le chemin impressionne et je crains pour mon vertige, mais finalement, ça se passe bien car le chemin est bien constitué et je profite pleinement du paysage. Un immense rapace (un gypaète barbu ?) nous survole et je me demande quelle envergure il peut bien faire, surement plus de 2m ! Trop beau ! Ce chemin de crête est quand même long mais nous arrivons bien fatigués au Petit Lac de Montfiot un peu avant 15h. Pause goûter avec les bon sablés à la framboise laissés par Annie.
Dilemme : est-ce que nous commençons notre retour vers le Lac du Loup ou bien nous laissons-nous tenté par la montée à la Point de la Masse, 1h30 indiquée, qui nous tend les bras. Evidemment, notre sens du défi nous fait opter pour la montée à la masse.On est en été, les journées sont longues et il fait beau. Et c’est reparti pour une montée bien raide avec à nouveau un chemin de crête qui me donne quelques sueurs :) Certains fadas descendent en VTT, souvent sur l’épaule, en plein passage de rochers déjà pas facile à pieds … Ça monte vraiment fort à la fin, et je n’aurais pas fait 20 m de plus sans avoir de crampes dans les cuisses. Nous voilà en haut en moins d’une heure (pour 1h30 annoncé) !
Au sommet, au pied de la station de télécabine de la Masse 2, un parapentiste patiente pour prendre son envol sous les regards curieux des touristes. Une première tentative ratée, puis une deuxième réussie que je crois filmer … mais je n’ai pas bien appuyé sur le bouton, ça m’arrive souvent dans les moments critiques :) !
Nous reprenons le chemin en sens inverse pour redescendre à Montfiot. C’est quand même plus facile ! Matthieu fait une première expérience de descente en courant. Nous arrivons très vite à Montfiot et cette fois, nous entamons la descente jusqu’au Lac du Loup. Nous courrons un peu, comme nous avons vu faire certains randonneurs qui font du trail, et Matthieu décide de pousser l’expérience jusqu’au bout et c’est ainsi que je le vois s’éloigner rapidement. Je vois au loin sa silhouette qui dévale le chemin et c’est ainsi qu’il arrive bien avant moi au refuge du Loup (ceci dit, je suis aussi descendu en courant ou en marchant beaucoup plus vite que d’habitude, mais j’ai l’impression d’avoir des cailloux qui me gênent dans la chaussure).
Petite pause pour boire et nous entamons la dernière partie vers le parking du Cairn. Nous marchons encore vite, malgré l’épuisement, pour essayer de faire cette partie en 1 heure. Dans tous le cas, le télécabine du Cairn sera fermé à cette heure là pour nous remonter à Val Thorens et nous appelons Tristan pour qu’il vienne nous chercher en voiture.
Et effectivement, Tristan nous attends. Ca nous fait du bien de voir la voiture après 20 km de marche en montagne ! Mais comme Matthieu et Tristan n’en ont jamais assez, ils sortent la longboard et le drone de Tristan pour s’entrainer sur ce vaste parking désert et en légère pente.
Enfin, comme promis pour nous remettre de ces efforts, nous allons dîner au restaurant ce soir-là, aux Clarines, pour une merveilleuse fondue savoyarde, avec une belle assiette de charcuterie et une dose d’Apremont. Bref, tout ce qu’il faut pour regagner les calories perdues :) !
16 AOUT - PARCOURS AVENTURE
Grasse matinée après la randonnée de la veille. Au programme de Matthieu, le parcours Aventure près du Lac aux Grenouilles. Personnellement, je l’ai fait une fois il y a quelques années, ça me suffira, je ne suis pas très motivé pour me donner volontairement le vertige.
Et donc en début d’après-midi, nous arrivons sur les lieux. Nous sommes d’ailleurs les seuls. Matthieu se harnache et écoute les conseille du guide qui s’occupe du parcours. Et voilà notre Matthieu qui s’élance à l’assaut des différents obstacles, échelles, pont de singe, via-ferrata, etc. Fidèle à lui-même, il fait ça sérieusement et plutôt rapidement, même si on voit bien de loin que certains passages sont bien techniques.
En attendant, Tristan et moi profitons du soleil et du Lac aux Grenouilles. Néanmoins, sur les conseil du guide, Tristan va rejoindre le haut du parcours par un chemin qui le contourne, au dessus de la tyrolienne pour faire un coucou à Matthieu.
Et après les trois tyroliennes, Matthieu revient à son point de départ après environ 1h15 d’efforts. Nous remontons tous les trois en haut du parcours par le chemin pour voir comment ça fait : ça fait un beau surplomb au dessus du Lac. Le ciel est assez menaçant …
Retour à l’appartement, puis en fin d’après-midi, nous redescendons en voiture jusqu’au parking du Cairn pour que Tristan et Matthieu profitent de la longboard et du drone de Tristan. Les garçons aiment tellement ça qu’ils redescendront encore en début de soirée pour en profiter jusqu’au coucher du soleil.
17 AOUT - VTT !
Profitant d’un créneau météo a priori favorable, nous avons réservé des VTT de descente pour la matinée. Lever tôt (pour une fois). Les garçons sont motivés ! A 9h tapantes, nous sommes chez le loueur à Val-Tho. Pour la somme non négligeable de 180 € quand même, nous avons droit à des équipements de protection hyper-complets et rassurants, incluant une « carapace », et à des VTT de descente dotés de super suspensions et de freins à disque hydrauliques particulièrement efficaces. Bref, nous voilà harnachés comme des pros et nous nous échauffons avec la descente de Val-Thorens jusqu’au télésiège de La Moutière … qui n’ouvre qu’à 10h. Nous patientons donc un peu en surveillant la météo du coin de l’oeil.
Et c’est parti, d’abord par une agréable montée sur le télésiège. Nous attrapons nous même nos vélos qui suivent sur les nacelles suivantes, et nous voilà partis pour la piste bleue. J’ai un peu d’appréhensions au début (pas les garçons !) mais je prend rapidement confiance car le VTT est extrêmement efficace et la piste bien adaptée avec des virages relevés et un chemin bien marqué, avec quelques bosses ou rochers tout à fait surmontables. Je note quand même que c’est fatiguant, qu’il faut faire plus que de se laisser descendre ! En particulier, les bras et les mains sont bien sollicités et c’est essoufflé et les mains en compote qu’on revient à notre point de départ.
On remet ça deux fois et je suis plutôt content de voir que j’améliore ma vitesse et mon agilité à chaque fois. Finalement, j’adore et j’en redemanderai presque s’il n’était déjà presque midi et qu’il ne fallait rendre l’équipement. Nous montons une dernière fois à Moutière pour prendre une piste qui nous ramènera dans le haut de Val-Thorens, cette fois par une large piste pour voiture. Evidemment les garçons sont à fond … Comme on arrive à Val-Tho un peu avant l’heure limite, Tristan et Matthieu se refont une petite descente (avec obstacles) jusqu’au Cairn et remontent par le télécabine.
Nous rendons l’équipement à regret mais nous sommes quand même bien fourbus !
Dans l’après-midi, nous descendons aux Menuires où se déroulent les championnats de France de VTT. Forcément, il y a des camping-cars et des tentes partout et il faut aller assez loin pour se garer. Nous commençons d’abord par aller à la luge d’été pour solder notre carte (il restera quand même une descente pour l’année prochaine …), mais il y a beaucoup de monde : attente et freinage sur la piste à cause des tortues devant nous : pas top. Nous allons ensuite regarder le début des épreuves, mais malheureusement pour les organisateurs et les participants, il se met à pleuvoir de plus en plus fort. A tel point d’ailleurs que la Cime Caron sera légèrement blanchie par la neige en fin de journée. Nous rejoignons rapidement la voiture pour remonter et passer notre dernière soirée aux Balcons de Val-Thorens.
Un dernier tour au spa pour se remettre des chocs du VTT. Apéritif et dîner pour finir autant que possible ce qui se trouve dans le frigo !
18 AOUT - ON REMBALLE
C’est sur ce magnifique panorama sous le soleil que notre séjour se termine. Tout le monde s’active pour tout remballer, monter les sacs (oui, l’appartement est au -2, le parking au -1 …) et charger la voiture. Quand tout est sorti, je mets les garçons dehors :) pour faire le ménage. L’appartement est grand mais nous n’avons pas trop sali et je monte rendre les clés vers 10h15.
En route pour Chambery, où nous ferons étape pour voir mon oncle Francis. Courte pause obligatoire pour revoir Notre-Dame des Grâces à Saint-Jean de Belleville avant de poursuivre. Pas de grosse circulation, mais pour autant la descente se fait quand même tranquillement derrière … un camping-car (je hais les camping-cars …). Seul un petit bouchon à l’approche de Chambery nous ralentit.
Nous arrivons vers 13h à Chambery … et les garçons ont faim. Il serait trop simple d’aller au McDonald le plus proche de Tresserves, à Aix-Les-Bains. Non, il faut un King-Burger que nous trouvons à quelques kilomètres de là … Ceci dit, c’est bon, nous sommes en terrasse au soleil et nous en profitons pour faire un petit tour au Decathlon juste à côté.
Nous rendons ensuite visite à mon oncle Francis, en convalescence pour de gros problèmes de dos, dans une maison de repos à l’arrière de Tresserve. Il est bien amaigri et a quelques difficultés à s’exprimer, mais je pense que ça lui fait vraiment plaisir de nous voir. Nous ne restons pas longtemps et nous poursuivons jusqu’à sa maison pour dire bonjour aussi à Nicole et pour discuter un peu de la situation. Francis devrait rentrer sous quelques semaines mais des aménagements sont à prévoir pour permettre à Françis de vivre au rez-de-chaussée.
Nous rejoignons ensuite le Cervolan, notre hôtel situé le long de l’aéroport de Chambery, proche du bout du Lac du Bourget. Nous profitons de la belle piscine de l’hôtel pour nous détendre et prendre encore un peu de soleil avant le retour.
Ensuite direction Belley, pour prendre l’apéritif chez ma cousine Catherine et son mari Nicolas. Jardin bien agréable au milieu de la vieille ville. Il fait bon. Nous retournons ensuite sur Chambéry pour un dîner au bord du Lac du Bourget, en terrasse. Moment très sympathique, Catherine et Nicolas sont vraiment charmants et Nicolas s’entend bien avec Tristan et Matthieu.
19 AOUT - RETOUR
Pas grand chose à dire, retour sans encombres et sans embouteillages. Pitstop à Velizy car Matthieu dépose ses affaires pour repartir immédiatement avec son frère jusqu’à Lille. Tristan et Matthieu me déposent à Nanterre, avant de repartir cette fois sur Lille, où ils ont un planning déjà bien chargé (Matthieu va passera lundi son permis 125 cm3 dans le Nord)
THE END