INDOCHINE AU STADE DE FRANCE AVEC MORUE K
26 JUIN 2010
Billets réservés en janvier 2009 pour LE concert d’Indochine au Stade de France ce 26 juin 2010.
Départ de Morue K. et Morue JL en TGV, en 1ère car je connais les goûts de Morue K ... qui s’étonne néanmoins que je n’ai pas réservé tout le wagon pour nous deux ;-)
Petite balade entre République et le Marais sous un magnifique soleil : entre 18h et 19h, nous mangeons dans l’ordre, une bonne glace à la terrasse d’un café Auvergnat, un flan à l’abricot dans une pâtisserie du Marais et des Sushi au Tokyo-Beaubourg Rue des Lombards, en regardant passer les manifestants de la Gay Pride venus passer la fin de journée dans le quartier.
Ensuite, départ en RER pour le Stade de France et arrivée dans cette magnifique arène. On arrive à la fin de la première première partie, les Wampas. Le chanteur se fait porter par la foule et se fait un tour d’honneur.
Miss Kittin prend le relais pour une deuxième première partie : c’est punchy, rythmé, accompagné des mélopées de Miss Kittin.
Puis vient le moment attendu ... Impossible évidemment de raconter un concert, sans la musique, l’ambiance ... mais je retiendrai en vrac quelques impressions:
- L’impression de la montée en puissance du concert au fur et à mesure que la nuit tombe sur l’enceinte et que la ferveur monte. En plus, c’est une magnifique soirée d’été, d’une grande douceur. Même les oiseaux volent au dessus du stade pour écouter ...
- L’impression d’incroyable multitude quand les dizaines de milliers de spectateurs lèvent les bras en rythme pour accompagner la musique ... et chantent
- Un moment magique quand les milliers de briquets et de portables allumées forment une constellation d’étoiles dans le stade en fin de concert
- Un fond d’images, en général en noir et blanc, sur le thème de l’horreur de la guerre et de l’espoir, créant une ambiance à la fois étrange et émouvante. Le thème du dirigeable revient de façon récurrente, repris par un dirigeable au dessus de la scène
- Le concert acoustique, au milieu du public, moment de (très) relative intimité : Salambo, ...
- Nicolas Sirkis qui n’hésite pas à aller au contact de ses fans (je pense que certaines vont arrêter de se laver pour en garder l’odeur :)
Et évidemment les chansons d’Indochine qu’on adore, avec une puissance et une ambiance qui vous prend aux tripes.
Bref, un moment inoubliable ...
Par contre, on aurait du ‘réviser’ un peu nos chansons avant de venir pour participer encore plus: heureusement, on pouvait compter sur les vrais fans !
Retour tranquille en métro et dodo chez le frère de Morue K.
PS : non, «Partenaire Particulier» n’est pas une chanson d’Indochine :)))